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Par DOUCEUR ET TENDRESSE le 3 Mai 2013 à 00:20
mais le monde moderne repose notamment sur un mythe:
« L’homme veut dominer la nature ».
Il ne veut plus seulement l’aménager, s’y faire une place,
mais l’exploiter,la soumettre parl’intelligence,par latechnologie.
Mais il arrive que ce mythe d’une humanité surpuissante
et immortelle se fracture.
La nature,dans sa violence,son incohérence reprend ses droits.
On se souvient du tsunami de 2004,
du tremblement de terre d’Haïti en 2010,
des tristes événements de Fukushima en 2011.
Mais, toutes proportions gardées, bien sûr,l’ouragan Sandy
a peut-être,une portée symbolique supplémentaire?
C’est arrivé au Centre du Monde,la Métropole des Métropoles,
la Capitale du cosmopolitisme,de l’urbanisme la plus évolutive.
Mais, le raffinement des moeurs ne veut rien dire …
quand la nature se fâche.
Le chic est occulté par le choc !
Il y a pourtant une leçon philosophique à retenir
du passage de Sandy: Une leçon de modestie.
L’homme a beau se prendre pour un dieu, c’est un mortel.
Notre monde est toujours plus fragile qu’on ne le croit.
Pourquoi ne pas y voir aussi un rappel de la beauté de la vie.
Qui toujours peut se finir.
Qui toujours peut nous fuir.
Pourquoi ne pas y voir un signal de la nature nous invitant
à redécouvrir l’émouvante fragilité de notre humanité.
(Extrait: Mathieu Bock Côté)
<marque>« Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres,</marque><marque></marque>
<marque>Nous l'empruntons à nos enfants </marque><marque></marque>».<marque> </marque>
<marque>" Antoine de St-Exupéry "</marque><marque></marque>
Cordialement.Sissi-Tendresse 2013
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